(m) harry styles - undercoooo.

Prénom(s) Nom
citation de ton choix

carte d'identité

nom : auchoix
prénom(s) : auchoix
âge : 17 ans gna.
quartier d'origine : lake avenue
métier ou études : lycéen
orientation sexuelle : jokeeer pour vous
situation amoureuse : célibataire
type de personnage : nan
disney d'origine :
caractère : agressif - travailleur - indépendant - instable - rationnel - fascinant - autoritaire - astucieux - secret - têtu - humiliant - hypocrite - intelligent - rusé - sportif - efficace - de confiance - fêtard toussa aussi - IL A UN COEUR J'TE JURE MAIS IL EST CACHÉ.
avatar : haaaarreehh
copyright : madness

points importants de l'histoire

ASDFGHJKLASDFG HJKLASDFGHJKLASDFGHJL ASDFGHJKLASDFGHJKL ASDFGHJKLASDFGHJn ASDFGHJKLASDFG HJKLASDFGHJKLASDFGHJL ASDFGHJKLASDFG HJKLASDFGHJKLASDFGHJ L ASDFGH JKLASDFG HJKLASDFG HJKLASDFGHJL ASDFGHJ KLASDFGHJ KLASDF GHJKLASDFGHJL ASDFGHJKLA SDFGHJKLASDF GHJKLA SDFGHJL ASDFGH JKLAS DFGHJKLASDFGH JKLA SDFGHJL ASDFGHJKLASD FGHJ KLASDFG HJKLASDFGHJL ASDFGH JKLASD FGHJKLASDFGHJKLASDFGHJL ASDFG HJ KLASDFGHJKLASDFGHJKLASDFGHJL ASDFGHJKLA SDFGHJKLASDFG HJKLASDFGHJL ASDFGHJKLASDF GHJKLASDFGH JKLASDFGHJL ASDF GH JKLA SD FGHJKLASD FGHJKLASDFGHJL ASDFGHJKLAS DFGHJKL ASDFGHJK LASDFGHJL TMTCEii.

le lien avec votre personnage

peter johnson; depuis que Wendy avait déménagé, plus personne n'habitait la petite maison devenue presque ruine à quelques pas de la sienne; trop peu chère, trop peu luxueuse au goût de ceux qui veulent vivre dans un lieu comme le quartier résidentiel de lake Avenue. Les fenêtres croulantes, l'odeur de moisi, la pancarte à vendre penchant dangereusement vers la route; une baraque de rêve. Puis un jour, ils sont arrivés; un bouclé brun, chargé comme une mule de trois valises, un mec sans t-shirt, une canette de bière à la main et sa petite femme qui le suivait en rampant presque la tête baissée. Ils étaient entrés, avaient certainement acheté la maison puisque la pancarte fut enlevée le lendemain, et puis, ils n'étaient ressorti qu'une fois pour les poubelles. Peter jetait des coups d'oeil par sa fenêtre; ces gens étaient vraiment bizarres.
[...]
« Peter, tu apportes des cookies aux nouveaux voisins s'il te plaît mon chéri ? » en bon garçon bien éduqué, Peter attrapa le plateau et sortit de la maison. C'était surtout pour avoir une bonne raison de fiche un pied dans cette maison toujours aussi pourrie de l'extérieur. Mais dès qu'il posa un pied sur l'herbe flétrie par le temps, un énorme chien noir se mit à aboyer. Peter le regarda se débattre avec sa chaîne en feraille rouillée et lui tira la langue. « Tu m'auras jamais le clebs. » il replaça ses mèches et leva la pointe de son nez vers le ciel nuageux qui ne manquerait pas de gâcher ses gâteaux s'ils déversaient quelconque goutte de pluie. Il se précipita sur le pas de la porte et appuya sur la sonnette : rien ne se produisit, pas un son, pas un signe de vie. De trois coups secs, il frappa la porte. Une seconde. Puis deux. Puis trois. À la volée, la porte s'ouvrit et laissa paraître le garçon bouclé qui était sorti de la voiturette, chargé de valises, une semaine plus tôt. « Euuh ouais c'est pourquoi ? » « ON OUVRE PAS AUX INCONNUS PUTAIN ! » se dandinant royalement dans la maison d'où s'échappait une odeur de renfermé étouffante, celui qui devait être le père du garçon qui se tenait devant lui le tira par le t-shirt et le vira. « On n'en veut pas, retourne chez toi gamin. » Peter n'eut rien le temps d'ajouter, la porte lui était refermée au nez.
[...]
« Hé toi ! » grimpant sur les tables et slalomant entre les élèves, Peter courut après la masse bouclée qui se dirigeait vers la cafétéria avec une hâte étonnante. Il lui posa la main sur dos, chose qu'il regretta amèrement après s'être pris un pain en pleine figure. « Fallait pas me prendre par surprise. » il s'apprêtait à continuer sur sa lancée mais Peter secoua la tête et lui courut après de nouveau; « Dis tu serais pas un peu du genre ... un peu agressif ? » « Et toi t'as rien d'autre à faire que de me coller là ? Dégage j'te dis. » « j'ai un truc à te donner attends ... » le temps qu'il mit à fouiller dans son sac, le garçon avait disparu dans les couloirs. La prochaine fois, il l'aurait.
[...]
« Il est bizarre ce mec. » Phoebe fronçait des sourcils et mâchait avec peine le brocoli qu'elle s'était efforcé à mettre dans sa bouche. Peter tourna la tête, reconnu tout de suite le garçon qui lui servait de voisin mais dont il ne savait rien et s'élança à sa poursuite, la boîte de cookies dans la main, pour la deuxième fois. « Saluut cette fois tu peux pas m'échapper ! » le bouclé roula des yeux et soupira bruyamment. « Les cookies que j'ai pas ... Ouah c'est quoi ça sur ton oeil ? » Peter tendit le doigt et s'apprêta à toucher la marque bleuâtre autour de l'oeil émeraude mais rapidement, le garçon s'en saisit et manqua de le briser. « Aïe aïe Aïïïe ! » « C'est bon pose tes cookies et barre-toi fais pas chier. » Peter le regarda un instant. C'est quoi ce garçon ? Bizarre, Phoebe avait raison. Tellement différent de toutes ces têtes souriantes qu'il avait l'habitude de croiser à Lake Avenue. Tellement différent de lui. « Je viendrai récupérer ma boîte ce soir ! » « J'crois pas non, j'te la ramène demain. » « Euh ok mais ... comment tu t'appelles au juste ? » « Ethàn. » sans même avoir demandé à Peter comment il s'appelait, il débarrassa le plancher avec la boîte de gâteaux.
[...]
La pluie battait son plein contre les carreaux de la grande maison. Peter fixait avec appréhension le plafond; l'école avait été levée pour pluies trop abondantes. Il n'allait pas récupérer sa boîte. Pourtant, il avait une sorte d'espoir. Comme si quelque chose allait se passer tout de même aujourd'hui. La pluie se calma pour un laps de temps indéterminé, une fenêtre fut cognée, il se dégagea de son lit et laissa Ethàn entrer en roulé-boulé parfaitement maîtrisé dans sa chambre. « Mais t'es fou ? » « Bah quoi j'avais dit que je te la rendrai aujourd'hui non ?! » Peter posa la boîte sur son bureau et se retourna vers Ethàn qui avait déjà posé la main sur un de ses contes de fées jamais ouverts. « Tu lis tout ça ? » il semblait fasciné par les couvertures et autres reliures de ces vieux recueils. Peter posa la main sur son livre et lui arracha avant de le remettre sur l'étagère poussièreuse. « Euh non, j'aime pas lire. Pourquoi t'aimes bien ça les contes de fées ? » « Ah euh ... Non c'est de la connerie ces livres. » « Moi j'aime bien. J'aime juste pas lire. » Un silence pesant s'installa dans la chambre, Peter ouvrit la fenêtre et jeta un coup d'oeil à l'extérieur. « Eh, tu me fais visiter ta chambre maintenant ? » ses yeux virèrent au vert, il était prêt à descendre sauter hors de la maison mais Ethàn se referma et le poussa vers l'intérieur en lui lançant un regard foudroyant. « Toi et moi, on est pas potes. Ok ? » Puis il disparut de nouveau. Peter se laissa tomber sur son lit en soufflant. Se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour éveiller une telle méchanceté en ce garçon. Ce garçon si secret et peu enclin à la rigolade. Ça lui fendait le coeur, de voir des gens comme ça, qui fuyait les histoires des contes de fées et se complaisait dans leur monotonie quotidienne. Mais il ne connaissait rien de ce garçon, après tout, c'était pas son pote.