caractère
Zayne n'est pas une personne doté d'une grande confiance en soi, c'est pour cela qu'elle est aussi timide, elle n'ose pas faire le première pas. Elle ne se sent pas vraiment à l'aise et, à toujours l'impression de déranger les gens. C'est également une jeune fille très serviable, peut-être un peu trop d'ailleurs, il lui est très difficile de dire non, surtout aux gens qui comptent énormément pour elle. Pourtant, cela ne l'empêche pas d'être très Franche avec les gens. Bah oui, on peut être timide sans pour autant ne pas oser dire un mot, enfin, il faut quand même qu'elle soit en confiance. D'ailleurs, lorsque la miss se sent "à sa place" elle se lâche vraiment et là, on découvre une Zayne drôle, un peu fofole sur les bords, loin de la fille timide qu'elle parait être. Curieuse ausi, si elle sent que vous lui cachez quelque chose, sa curiosité prend le pas sur sa timidité et, elle feras tout, de manière plus ou moins subtile, pour découvrir ce qui ne va pas. La petite blondinette est également très naïve et idéaliste, pour elle, tout le monde est beau, tout le monde est gentil. Enfin, j'abuse un peu, n'allez pas croire que pour elle le monde ressemble à un conte de fées, non, c'est juste qu'elle cherche toujours à voir le bon côté présent en chacun de nous. C'est peut-être cette perception du monde qui fait que la demoiselle est toujours ou presque de bonne humeur, oui, Zayne respire la joie de vivre et déborde d'énergie. Le côté dominant de sa personnalité dépend d'avec qui elle est. Zayne est, malgré son apparence simple, d'une complexité étonnante.

Zayne entra dans l'hôpital, la boule au ventre et la gorge serrée. Elle se dirigea d'un pas hésitant vers la femme se trouvant à l'accueil. Zayne n'aimait pas les hôpitaux, elle se sentait toujours mal à l'aise dans ces endroits qui, ne lui rappeler que de mauvais souvenirs. En effet, la jeune fille avait déjà perdu un membre de sa famille dans ses lieux, sa mère. Certes, elle était trop jeune pour réellement se souvenir des faits, mais, rien que de savoir que c'est dans ce lieu que la femme l'ayant mis au monde et que des centaines d'autres gens avaient perdu la vie lui donner envie de partir et de ne jamais re-franchir cette grande porte.« Excusez-moi.. » interrompit la jeune fille d'une voix tremblante, la femme ayant le nez dans un livre. « La chambre de Monsieur Forks, s'il vous plait. » La brune à lunette ouvrit un fichier dans son ordinateur, tapa le nom de famille de la blondinette et, d'une voix désagréable lâcha « 207. Les ascenseurs se trouvent au fond du premier couloir. » accompagné d'un léger soupire. Zayne acquiesça d'un rictus, signe de politesse, même si, son interlocutrice n'avait pas été très aimable avec elle. Elle se tourna et avança lentement dans le long couloir au couleurs froides, réfléchissant aux mots qu'elles aillaient dire à son père, également à la façon dont elle allait les prononcer. Tout compter, car Zayne prenait en compte l'hypothèse que ses mots seraient probablement les derniers qu'elle lui dirait. Son père était en phase terminal, son heure n'allait pas tardait et, la jeune le savait très bien. Elle monta dans l'ascenseur en compagnie d'une femme âgé d'une trentaine d'années et d'un petit bout, malade. Zayne, faisant preuve d'une grande empathie, se sentie mal. L'ascenseur ouvrit ses portes, elle fit exactement quinze pas avant de trouver la chambre et, d'y entrer. Son père était allongé, dans un sale état. La blondinette s'approcha doucement et l'embrassa sur le front. « Papa.. » sa gorge ce sera davantage, les larmes lui montèrent aux yeux, sa vue se troublait. Elle avait compris.« S'il te plait, ne me laisse pas, pas maintenant. » elle baissa la tête et fondit en larmes « Pas seule.. » L'homme allongé sur le lit, l'air serein, mais fatigué, pris la parole d'une voix tremblante « Zayne, ma chérie, je ne te laisse pas seule. T'as belle-mère et t'es demi-soeurs sont là pour toi. Tu verras. » Elles seront là ? Cette horrible bonne femme et, c'est deux pimbêches de filles ? Non, non. Si tu savais papa, comme elles se comportent depuis que tu es ici, tu ne dirais pas ca. pensa Zayne. « Je t'aime ma chérie, ne l'oublie pas. ». Zayne leva la tête, frotta ses larmes, fit sont plus beau sourire et, pris son père dans ses bras. Elle sortie le temps d'un instant à l'arrivée de sa belle-mère. A son retour, tout le monde était dehors, seuls des médecins entré. Zayne paniqua, elle savait, mais, ne voulait pas y croire. L'être le plus chère à son coeur n'était plus là.


Après la mort de son père, Zayne c'est, tant bien que mal, reconstruite. Elle est beaucoup plus forte qu'il ni parait. En effet, Zayne est loin, très loin d'être la petite chose toute sensible et sans défense à la capacité émotionnelle d'une petite cuillère. Elle sait encaisser les coups dur, aussi nombreux soient-ils. Pour ce faire, elle consacra encore plus de temps à ses études, ne voulant pas planter cette année, tellement importante pour son entrée à l'université mais, également à s'occuper de la maison et à être au service de tout le monde. On ne va pas se mentir, la jeune fille n'aimait pas recevoir des ordres, surtout venant de sa belle-mère mais, elle se taisait et exécuté. Pourquoi ? Tout simplement parce que son père l'aimer, oui, il aimait cette femme. Elle l'avait rendu heureux et, rien que pour cela, malgré toute la haine qu'elle nourrissait pour celle-ci Zayne, elle se devait de la respecter. Puis, il fat aussi avoué que la petite blonde, même si elle n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds par n'importe qui, n'osait pas réellement s'opposer à sa marâtre, car celle-ci avait un charisme, une sorte d'aisance naturelle, qui faisait que personne n'osait la stopper. Mais, Zayne commence à en avoir sa claque, de se faire mener à la baguette par une femme n'étant pas capable de laver une maison correctement, elle risque de craquer, à moins que..